Diferencia entre revisiones de «Historia de las bolsas de valores»
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[[Fichier:Palazzo mezzanotte2.jpg|left|La Palazzo mezzanotte, à [[Milan]]|vignette]]
Souvent dotées d'un statut mutualiste, associatif ou public, les Bourses se privatisent dans les [[années 2000]], devenant elle-même des entreprises cotées très rentables, avant de se racheter les unes les autres. En {{date||septembre|2000}}, la [[Bourse de Paris]] fusionne avec [[Bruxelles]], [[Amsterdam]] et [[Lisbonne]] pour créer [[Euronext]], puis achète la Bourse des produits dérivés de [[Londres]], le [[LIFFE]] avant de fusionner en {{date||avril|2007}} avec le [[New York Stock Exchange]] pour créer [[NYSE Euronext]].<ref>Bref historique des fusions boursières [url= http://www.flutrackers.com/forum/showthread.php]</ref>
En {{date||mai|2007}}, le [[Nasdaq]] acquiert le suédois [[OMX]], et ses 7 places [[scandinaves]] et [[baltes]] : [[
[[Fichier:NeueBoerseFrankfurt.jpg|thumb|upright=1.3|La Bourse de Francfort]]
Parallèlement, la centralisation des ordres est supprimée par la [[directive concernant les marchés d’instruments financiers]] entrée en application le {{1er}} novembre [[2007]] dans le cadre du plan d’action des services financiers 2005-2010 de la [[Commission européenne]], adopté sous l'influence des quelques grandes banques et piloté par [[Alexandre Lamfalussy]]. La directive libéralise la [[concurrence]] entre les [[marché organisé|marchés réglementés]] et les [[Système Multilatéral de Négociation|Systèmes multilatéraux de négociation]], qui obtiennent le droit de se passer d’un [[carnet d'ordres]] centralisé. Elle a réduit les capacités de surveillance des marchés et de connaissance des ordres. En [[2010]], moins de la moitié d’entre-eux passent par un [[marché organisé|marché réglementé]].<ref>« Vingt propositions pour réformer le capitalisme », par Gaël Giraud,Cécile Renouard [http://books.google.fr/books?id=w5md2wVBqtEC&pg=PT64&dq=directive+europ%C3%A9enne+mif+critique&hl=fr&sa=X&ei=Gyk0UYadBsSq0QXl8YGwCg&ved=0CFAQ6AEwBQ]</ref> En septembre [[2008]], neuf grandes banques, parmi lesquelles [[BNP Paribas]], [[Citigroup]] et [[Morgan Stanley]], lancent "Turquoise", le premier [[dark pool]] européen. Le tarif moyen d'une transaction sur un [[marché organisé|marché réglementé]] a baissé de 20 % à 40 %, selon une étude Oxera-Commission européenne publiée en juillet [[2009]], mais le coût global d'un même ordre, désormais fragmenté, n'a pas diminué car sa taille moyenne a été divisée par trois en deux ans, selon Bertrand Patillet, directeur général adjoint de CA Cheuvreux.<ref>« Deux ans après, un bilan mitigé », par Fabrice Anselmi dans L'AGEFI Hebdo du 29/10/2009 [http://www.agefi.fr/articles/deux-ans-apres-un-bilan-mitige-1112202.html]</ref> Dans un avis d'octobre [[2009]], l'[[Autorité des marchés financiers (France)|Autorité des marchés financiers]] déplore ne plus avoir les moyens de savoir ce qui se trame dans ces « bourses noires».<ref>« Vous aimez la crise ? Vous adorerez les dark pools », parDavid Servenay sur [[Rue89]]</ref> L'opacité des [[dark pool]]s, qui permettent de rester anonyme, est également critiquée par les pays du [[G20]] lors de la crise de 2008, ce qui amène la [[Commission européenne]] à réformer à l’automne [[2012]] sa [[directive concernant les marchés d’instruments financiers]] de [[2007]].<ref>« Une directive remaniée pour mieux protéger les épargnants », par Gilles Pouzin, dans ''[[Le Revenu]]'' du 7 octobre [[2012]].</ref>
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