Inscripciones de Bourgade

Inscripciones de Bourgade
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Escritura	Punic
Descubrimiento	1852
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Las inscripciones de Bourgade son unas 40 epigrafías en lengua púnica, encontradas en la década de 1840 y principios de 1850 en el Túnez husainida, que acababa de abrirse a la influencia francesa tras el encuentro de 1846 entre Ahmad I ibn Mustafa y Antoine, duque de Montpensier.^[1]^[2]

17 exvotos de ofrendas religiosas: 13 textos y 4 bajorrelieves;^[1]
34 epitafios funerarios: 28 textos y 6 bajorrelieves.^[1]

Bourgade también volvió a publicar dos estelas notables llamadas "Cartaginesa A" y "Cartaginesa B", que fueron descubiertas en 1845 en el puerto-isla de Cartago.^[1]

Algunas de las inscripciones fueron encontradas cerca de las ruinas de Cartago o sus alrededores y el resto en diversos puntos de la Regencia de Túnez. Varias fueron descubiertas por un arqueólogo llamado Honnegger. La mayoría de las piedras eran propiedad del público tunecino, tanto en el campo como en las ciudades.^[1]

Varias de las inscripciones más notables se han recopilado en Kanaanäische und Aramäische Inschriften y se conocen como KAI 133-135.

Fueron publicados en 1852 por François Bourgade en su Toison d'Or de la Langue Phénicienne.

Textos editar

KAI 133:

(1) ṭʻnʼ ʼbn z lbʻlš(2)mʻ bn mʻsqlʼ-(3)ʼ bn šʻnt šbʻm

Erigida (fue) esta piedra para Baʻalsamoʻ el hijo de MʻSQLʼʼ, un “hijo” de setenta años.

KAI 134:

(1) ṭnʼ ʻbn z lplks bn (2) pʻwstʼ wkn šnt šlš(3)tm bʻym

Erigida (fue) esta piedra para Félix el hijo de PʻWSTʼ. Y tenía tres años. Fue bueno en (sus) días (durante su vida).

KAI 135:

(1) ṭʻ(nʼ) ʼ(b)n z lbrk(b)ʻl (2) bt yʻšdby (3) wʻwʻ šʻnt (4) ʼsrm wʻmš

Erigida (fue) esta piedra para Biricbal hija de YʻŠDBY. Y vivió veinticinco años.

Bibliografía editar

Chabot Jean-Baptiste. Les inscriptions puniques de la collection Marchant. En: Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 60 ^e année, N. 1, 1916. págs. 17-34. DOI : https://doi.org/10.3406/crai.1916.73653

Referencias editar

↑ ^a ^b ^c ^d ^e Bourgade, François (1852). Toison d'or de la langue phénicienne. B. Duprat. pp. 12-. «Cette Collection renferme 41 inscriptions, trouvées, quelques-unes sur les ruines de Carthage ou aux environs ; les autres, sur divers points de la régence de Tunis. Plusieurs ont été découvertes par feu M. Honnegger, archéologue distingué, qui a exploré la régence de Tunis. Les pierres, passées en plusieurs mains, ont demeuré longtemps exposées au public, partie à la campagne, partie à la ville. Les fac-simile ont été pris par M. Sulema, professeur de dessin au collége Saint-Louis de Tunis. Les planches sont gravées par M. Delamare, l'un des graveurs les plus distingués de Paris... La Collection se divise en deux principales catégories, dont l'une renferme treize textes et quatre bas-reliefs; l'autre, vingt-huit textes et six bas-reliefs. Les inscriptions de la première catégorie présentent des ex-voto; celles de la seconde, presque toutes, des épitaphes. Les pierres de la Carthaginoise A et de la Carthaginoise B, premiers textes de la Collection, ont été découvertes en 1845 à la petite île du port Cothon.»
↑ Clancy-Smith, Julia Ann (2011). Mediterraneans: North Africa and Europe in an Age of Migration, C. 1800-1900. University of California Press. pp. 452-. ISBN 978-0-520-25923-2.

Datos: Q101035711
Multimedia: Bourgade inscriptions / Q101035711

[Bourgade1852-1] Bourgade, François (1852). Toison d'or de la langue phénicienne. B. Duprat. pp. 12-. «Cette Collection renferme 41 inscriptions, trouvées, quelques-unes sur les ruines de Carthage ou aux environs ; les autres, sur divers points de la régence de Tunis. Plusieurs ont été découvertes par feu M. Honnegger, archéologue distingué, qui a exploré la régence de Tunis. Les pierres, passées en plusieurs mains, ont demeuré longtemps exposées au public, partie à la campagne, partie à la ville. Les fac-simile ont été pris par M. Sulema, professeur de dessin au collége Saint-Louis de Tunis. Les planches sont gravées par M. Delamare, l'un des graveurs les plus distingués de Paris... La Collection se divise en deux principales catégories, dont l'une renferme treize textes et quatre bas-reliefs; l'autre, vingt-huit textes et six bas-reliefs. Les inscriptions de la première catégorie présentent des ex-voto; celles de la seconde, presque toutes, des épitaphes. Les pierres de la Carthaginoise A et de la Carthaginoise B, premiers textes de la Collection, ont été découvertes en 1845 à la petite île du port Cothon.»

[Clancy-Smith2011-2] Clancy-Smith, Julia Ann (2011). Mediterraneans: North Africa and Europe in an Age of Migration, C. 1800-1900. University of California Press. pp. 452-. ISBN 978-0-520-25923-2.

[1]

[2]